A propos d’Allison 

 

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Allison PAPILLON Thérapeute psycho-énergétique

Je suis Allison PAPILLON, sociologue et thérapeute psycho-énergétique. 

La Méthode Papillon est le fruit d’années d’expériences à la fois universitaires, sociales, personnelles et professionnelles.

Quel est mon parcours ? 

J’ai toujours été à l’aise avec l’autre. Petite, j’étais déjà très investie avec les élèves en difficultés de mon école, je dénonçais les injustices, j’étais sensible et à la fois dévouée à l’écoute de mes amis. J’avais à cœur de ne pas blesser l’autre, une bienveillance innée. Mes années d’étude se sont déroulées de façon fluide jusqu’au bac. J’ai obtenu mon diplôme section Economique et Social, spécialité économie avec mention AB. J’ai intégré ensuite l’université en Sociologie, plus par dépit que par réel choix, je n’avais pas vraiment anticipé mon projet, et je ne savais pas précisément où je voulais aller. J’ai découvert une science humaine passionnante, et j’ai continué jusqu’en MASTER 2. 

C’est quoi la sociologie ?

La sociologie est l’étude des relations, actions et représentations sociales par lesquelles se constituent les sociétés. Elle vise à comprendre comment les sociétés fonctionnent et se transforment. Elle s’intéresse aux rapports individus-société, parcours de vie, actions sociales tels le travail, la science, les mouvements sociaux, groupes sociaux tels les familles ou les réseaux d’amis, organisations telles les écoles ou les entreprises, sociétés entières dans leurs aspects culturel, technologique, économique, politique, enjeux planétaires tels la migration internationale ou l’environnement …

La sociologie est une discipline, à savoir, un ensemble de méthodes d’observation, de manières de penser et de cadres d’analyse en évolution qui s’applique à une gamme illimitée de phénomènes sociaux, dont : l’identité et la citoyenneté, l’intégration sociale et la discrimination, la migration des populations, les stratégies d’existence dans les pays en voie de développement, la transformation des mœurs sociales, la biotechnologie et d’autres nouvelles technologies, la renaissance de la religion, les transformations dans les conditions de travail, la santé publique, la croissance des inégalités sociales, les rapports entre le privé et le public, les vogues, la mode, la culture populaire …

Ce que j’ai fait avec tout ca ?

Je me suis approprié les savoirs et les compétences, j’ai complètement adopté les lunettes de sociologues que je ne peux pas enlever aujourd’hui. Ce parcours à fait de moi une personne méthodique, avec un sens aigue de l’analyse « neutre », c’est à dire sans préjugés et avec une ouverture d’esprit très grande. J’ai compris beaucoup de choses sur le monde qui m’entoure, et cela a été une force pour moi dans mon adaptation. Je me suis toujours sentie assez malmenée par le monde, par la méchanceté, par le comportement des autres .. mais en comprenant comment le monde social fonctionnait, cela devenait moins difficile. J’objectivais. Je comprenais d’où venaient les comportements des gens, comment se formaient les problèmes sociaux, pourquoi l’argent avait une si grande place partout … tout ce qui me gênait dans ce monde prenait sens (sans le justifier évidemment) et je trouvais alors une position à adopter vis à vis de tout cela. La sociologie m’a servi de socle pour ma vie professionnelle mais également pour ma vie personnelle. 

Quel est mon parcours professionnel ? 

Après les petits boulots pour me faire des économies pendant les vacances … je suis passé au bénévolat. D’abord dans une association d’enseignement scolaire puis au Planning Familial (antenne préventive et éducative). J’ai découvert des publics différents, des façons de travailler humainement, j’ai beaucoup appris. J’ai pris des claques aussi … les récits difficiles, de violence sexuelle notamment lors de mes accompagnements au PF ont forgé en moi une réelle envie d’aider et de changer les choses. Je me sentais à l’aise dans l’échange, et j’avais à cœur de donner mon soutien. C’est là que j’ai commencé à développer des compétences dans l’accompagnement, l’écoute bienveillante, le déroulement d’un entretien d’aide. 

A l’entrée en MASTER 1, j’ai débuté une année de service civique en lycée professionnel, à Saint Pierre des Corps. J’ai accompagné une classe d’élèves primo-arrivants. (UPE2A Unité Pédagogique pour Elèves Allophones Arrivants). Mes trois ans de sociologie m’ont bien aidé et mon écoute active également. Ce sont des élèves avec des parcours migratoires difficiles, ayant pour certains, côtoyé la mort, ou étant éloignés de leur famille. L’arrivée en France est pour eux une telle opportunité qu’ils sont très investis dans leurs apprentissages, et que leur accompagnement nécessite une prise en charge globale. J’ai littéralement adoré cette expérience ! J’ai également beaucoup appris de leur enseignante référente, qui connaissait très bien leur réalité, et qui m’a formée pour les accompagner de façon qualitative. Merci à elle. 

J’étais si à l’aise dans le milieu scolaire et dans ce lycée particulièrement que j’ai continué ensuite deux ans de contrat avec eux dans l’accompagnement d’élèves handicapés (AESH), j’avais des groupes de 4 élèves dans chaque classe. Mon rôle était de compenser leur handicap pour qu’ils puissent suivre comme des élèves lambda. La réalité du terrain faisait que j’avais plutôt une dizaine d’élèves dans chaque classe qui avaient besoin d’aide. 

Mes études se sont terminées à la fin de ces deux années de salariat. Je venais d’enchainer deux ans d’études hautes en travaillant 25 heures par semaine. J’étais littéralement épuisée. Le lycée m’a proposé un poste en Vie Scolaire et j’ai saisi cette occasion pour réfléchir à mon avenir professionnel. En effet, sociologue, c’est un métier spécifique et j’avais été un peu déçue par les perspectives d’avenir qui s’offraient à moi. Autant j’avais un œil aiguisé, une compréhension du système assez pointue, de grosses compétences méthodologiques … mais je ne me voyais pas intégrer un bureau de recherche pour autant. j’avais réellement envie d’intégrer une association, de travailler pour des causes, bref de changer le monde à mon petit niveau. 

Après un an et demi de contrat, je suis devenue maman, et évidemment cela a changé ma vie. En plein COVID … beaucoup d’isolement et de questionnement de mon côté … j’ai fait une dépression post-partum, non prise en charge en conditions COVID. Je n’ai réalisée que bien plus tard ma réalité à ce moment là. (si j’avais eu l’EFT !!! Mais non …)

En 2020, Quand les 9 mois de mon fils ont sonné, j’ai trouvé un emploi de Chargé de projet dans une association de promotion de la santé (AIDES). J’ai découvert le milieu médico-social, j’accompagnais des consommateurs de produits psycho-actifs, en extrême précarité. De projets en projets, toujours sur le terrain j’ai vraiment pu utiliser mes compétences et savoirs faire/être autant avec les institutions qu’avec les personnes prises en charge. Un an plus tard, je devenais cadre de la structure. Un rythme de vie trépidant, des projets, des réunions, le management, les financements de la structure … Une passion qui s’est vite transformée en fatigue chronique. Les mois ont passé et malgré ma réussite professionnelle et la reconnaissance que j’avais, ma forme ne revenait pas. 

Je trouvais l’équilibre grâce à quelques courts arrêts maladies pour symptômes de burn-out … et j’y retournais par passion. 

A côté de cela ma vie personnelle continuais d’évoluer, mon fils avait atteint 3 ans. Un été, complètement déprimée par ma fatigue et quelques problèmes de santé (bruxisme intense notamment) .. j’ai pris quelques jours de retraite avec une amie en campagne. Elle m’a fait découvrir l’EFT à l’occasion de ce séjour de repos. Je ne l’en remercierais jamais assez. 

LA séance qui change ma vie

Quand j’ai découvert l’EFT (Emotional Freedom Technique) j’ai été complètement déboussolée !

Cette séance a réellement changé ma vie. J’ai éliminé en une heure ce que je n’arrivais pas à éliminer depuis plusieurs années : une tristesse profonde due à un conflit long avec ma maman. 

Dans les années qui ont suivi, j’ai continué d’utiliser l’EFT pour me sentir mieux durablement vis à vis de traumatismes d’enfance, de peurs et de colère qui m’empêchaient de vivre ma vie sereinement. 

En effet, un évènement grave en 2022 a mis sur le devant de la scène des traumatismes d’enfance que je ne soupçonnais pas et cela a été un tsunami dans ma vie. J’ai suivi une thérapie EMDR (Eye Movement Desensibilisation and Reprocessing) qui m’a beaucoup aidée et j’ai continué d’utiliser l’EFT en complément. Ma progression a été rapide malgré un état inquiétant pour ma psy, ma médecin traitante et mon entourage. Une période qui a marqué ma vie par des addictions, un sommeil perturbé, un besoin de solitude extrême, une profonde tristesse et une remise en cause de tout ce qui m’entourait. En arret maladie, je me sentais inutile et j’avais l’impression que rien ne m’aiderait. 

Comment j’ai réussi à retrouver l’équilibre ? 

J’ai sollicité toutes les techniques et connaissances de mon « ancienne vie » tout en écoutant mes besoins nouveaux. Je me suis dit que l’équilibre, le bonheur, la paix, je devais aller les chercher et que c’était ça ma mission pour m’en sortir. 

Alors j’ai oeuvré, notifié, verbalisé, posé des objectifs, mis à plat mon état mental comme une réelle enquête. Je me suis rendue compte que c’était moi l’experte de ma vie. C’était moi qui savais ce qui faisait mal et ce que je voulais atteindre. Les thérapeutes que j’ai consulté étaient là pour m’y aider, mais c’était moi qui maitrisais mon chemin. C’était moi qui me battais chaque minute pour aller mieux, pour me libérer de ces émotions débordantes et polluantes. 

Alors j’ai mis au point ma méthode, celle que je souhaite partager aujourd’hui dans mon activité. Celle qui m’a permis de me relever, d’avancer, et de trouver un sens plus profond à ce que je fais et vis chaque jour. 

Après tout, qui pouvait mieux m’aider que moi-même ?

J’ai pris la lourde décision de quitter mon emploi de cadre pour faire ce qui m’a toujours passionné, aider les autres et vivre de ma passion. Mes expériences professionnelles et personnelles m’ont menée sur ce chemin et grâce à cela j’ai réussi à trouver ma propre thérapie. 

C’est ce que je propose dans mes accompagnements. De vous aider à trouver votre méthode personnelle, celle qui vous parle, celle qui vous aide vraiment. Pas une méthode calquée sur la réussite d’un ou d’une autre. Vous êtes l’unique expert de votre vie, vous savez ce qui fait mal ou pas, vous savez ce dont vous avez besoin ou pas … ce qui vous manque peut être c’est une méthode durable pour trouver cet équilibre tant recherché, votre paix intérieure, votre bonheur de commencer une nouvelle journée. 

Devenez donc votre propre thérapeute ! Je vous accompagne dans votre prise d’autonomie. Je vous apprends à enquêter sur vous même, à libérer vos émotions et à devenir votre propre thérapeute. Vous en êtes capable, et je compte bien vous le prouver. 

Depuis cette prise de conscience, aidée par mes compétences universitaires de sociologue, ma formation en EFT, mes expériences professionnelles dans l’accompagnement, je suis surprise chaque jour de ce que gagne. Je me traite à mon rythme, au gré de sujets qui viennent à moi, je n’ai plus peur de verbaliser, j’ai éliminé mes addictions, et je vogue vers mes objectifs avec plus de sérénité. Sans cette méthode, j’aurai investi des années avec de multiples thérapeutes, dépensé des milliers d’euros et toujours pas vu le bout du tunnel.